J’ai repris ma lecture ce matin, comme pour
J’ai repris ma lecture ce matin, comme pour vérifier que tout ceci était bien réel et ça l’est ; tu es un personnage abject. Tu ne mérites aucun respect, aucune considération.
Durant ta vie entière tu n’as rien respecté ni personne. Tu es un menteur, un escroc. Tu as le culot d’écrire : « je ne pourrai aimer qu’une femme saine et pure », toi, toi ce pervers machiavélique !
Je sais qu’un jour je ferai en sorte que tu lises ces mots, que tu lises ce que je pense de toi aujourd’hui.
En attendant je vais t’éloigner de moi le plus possible, et ne te donnerai même pas une explication, tu ne le vaux pas.
Je n’ai aucune colère détrompe toi, juste du mépris pour le pauvre type que tu es.
Tu n’existes plus pour moi aujourd’hui, d’ailleurs as-tu existé un jour ?
Tu m’envoies encore des mots doux auxquels je ne réponds pas, tu ne sais pas que tu n’es plus rien pour moi.
Je t’ai si souvent entendu donner des leçons, que chaque action ou pensée a des répercutions, que la roue tourne, qu’il faut assumer les épreuves qui nous tombent dessus à cause de ces mauvaises actions…
Je rigole doucement aujourd’hui…
Et je comprends mieux les wagons de problèmes qui ne te lâchent pas… Et je pense que ce n’est pas fini pour toi si ta philosophie est exacte…
Oublie moi, et laisse moi profiter des doux rayons de soleil qui viennent délicatement réchauffer mon cœur et mon corps…